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LE CHANT DU DEPART
法语资料:
Paroles de M-J CHENIER, musique de MEHUL
Après l'hymne de La Marseillaise au-dessus duquel il n'y a rien, en ce genre, soit chez les anciens, soit chez les nations modernes, la seconde place appartient incontestablement au Chant du Départ, Chénier (Marie-Joseph), cet autre Tyrtée des guerres de la Révolution, le composa en 1794, pour l'anniversaire du 14 Juillet. En faisant la part de l'exaltation républicaine du temps qui ne permettait d'exprimer modérément ni ses affections, ni ses haines ; en n'examinant pas à la loupe d'un purisme vétilleux quelques expressions peu harmonieuses, introduites dans un petit nombre de vers par le langage obligé de l'époque, on reconnaitra toujours dans ce chant guerrier une brillante et poétique inspiration. La magnifique strophe qui en forme le début est à la hauteur des chefs-d’œuvre de nos deux grands lyriques français.
Dans l'une des strophes de ce chant l'auteur rendit un juste hommage à deux jeunes héros, on peut dire à deux héros-enfants, dont l'histoire impartiale signalera aussi les noms et le dévouement.
Joseph Barra, entré, comme tambour, avant sa douzième année, dans les rangs de l'armée républicaine de l'intérieur, était aussi bon fils que soldat intrépide. Envoyant chaque mois à sa mère sa modique solde tout entière, il s'était toujours fait remarquer par son ardeur dans le combat. Cerné un jour par un nombreux parti de Vendéens, vingt baïonnettes sont levées sur lui. — "Crie Vive Louis XVII, lui dit-on, ou tu es mort. — "Vive la République !" s'écrie ce jeune d'Assas de douze ans, et il tombe percé de coups !
La Convention vota une fête à sa mémoire, une pension à sa mère ; Chénier et Collin d’Harleville lui offrirent, dans leurs vers, le tribut de l'admiration nationale.
Le second exemple de ce dévouement précoce n'est pas moins héroïque. Les insurgés marseillais allaient traverser la Durance, et écraser par la supériorité du nombre une faible troupe de soldats républicains. Un seul moyen de salut restait à ces derniers, c'était d'aller couper, sous le feu de l'ennemi, les câbles du ponton déjà tombé en son pouvoir ; mais une si périlleuse entreprise fait hésiter les plus braves ….Soudain un enfant de treize ans s'élance : c'est Joseph-Agricole Vialla, qui saute sur une hache, vole aux bords du fleuve, et frappe sur le câble à coups redoublés. Plusieurs décharges de mousqueterie sont dirigées contre lui : il continue à frapper avec ardeur….Enfin, atteint d'une balle et mortellement blessé, "Je meurs, mais c'est pour la Liberté !" telles sont ses dernières paroles. La mère de ce jeune Spartiate se montra digne de lui avoir donné le jour. En apprenant cette perte cruelle, sa douleur fut profonde ; mais quand on lui eut raconté l'admirable dévouement de son fils. — "Oui, dit-elle, il est mort pour la patrie !" et ses larmes cessèrent de couler.
En regrettant que ces deux traits n'aient pas eu lieu dans une lutte contre l'étranger, la France doit s'enorgueillir de pareils enfants, et savoir gré à la lyre qui a célébré leur courage.
Le Musicien ne resta pas au-dessous du Poète. Exalté par cette belle composition, Méhul en doubla le prix par ses énergiques accords. Ajoutons, comme une circonstance mémorable, qu'ils furent tracés en quelques instants, sur le coin d'une cheminée, et au milieu des causeries d'un salon.
Ainsi, trois des plus remarquables productions lyriques de nos jours sont nées d'improvisations du génie. Le Chant du Départ, comme on vient de le dire ; l'air O patrie! du Tancrebi, nommé en Italie l'Aria dei Rizzi, parce que Rossini le composa pendant qu'on apprêtait le riz de son repas ; enfin, la Marseillaise, qui, nouvelle Pallas, en quelques moments d'une nuit déjà très avancée sortit tout armée du cerveau enflammé de Rouget de l'Isle.
Exécuté d'abord par l'orchestre et les chœurs du Conservatoire de musique, dans la fête nationale de 1791 qui célébrait le souvenir de la prise de la Bastille, le Chant du Départ devint promptement populaire ; il fut accueilli avec transport par nos armées, qui le baptisèrent du nom honorable de frère de la Marseillaise. Il est, en effet, aussi beau de majesté et d'énergie que l'autre de verve et d'enthousiasme. Ces deux Chants belliqueux entraînèrent des légions de volontaires à la défense de nos frontières menacées, et décidèrent souvent la victoire. Leur souvenir restera toujours inséparable dans les glorieuses annales des guerres de l’indépendance nationale.
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以下是英文资料:
Le Chant du Départ
Battle hymn
Words by M.-J. Chénier, music by Méhul.
Un député du peuple
La victoire en chantant nous ouvre la barrière ;
La liberté guide nos pas.
Et du nord au midi la trompette guerrière
A sonné l'heure des combats.
Tremblez, ennemis de la France,
Rois ivres de sang et d'orgueil !
Le peuple souverain s'avance ;
Tyrans, descendez au cercueil :
La république nous appelle,
Sachons vaincre ou sachons périr ;
Un Français doit vivre pour elle,
Pour elle un Français doit mourir.
Chœur des Guerriers
La république nous appelle,
Sachons vaincre ou sachons périr ;
Un Français doit vivre pour elle,
Pour elle un Français doit mourir.
Une mère de famille
De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes :
Loin de nous de lâches douleurs !
Nous devons triompher quand vous prenez les armes :
C'est aux rois à verser des pleurs.
Nous vous avons donné la vie,
Guerriers, elle n'est plus à vous ;
Tous vos jours sont à la patrie :
Elle est votre mère avant nous. Chœur de mères de famille
La république, etc.
Deux Vieillards
Que le fer paternel arme la main des braves ;
Songez à nous au champ de Mars :
Consacrez dans le sang des rois et des esclaves
Le fer béni par vos vieillards ;
Et, rapportant sous la chaumière
Des blessures et des vertus,
Venez fermer notre paupière
Quand les tyrans ne seront plus.
Chœur des vieillards
La république etc.
Un enfant
De Barra, de Viala le sort nous fait envie ;
Ils sont morts, mais ils ont vaincu.
Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie !
Qui meurt pour le peuple a vécu.
Vous êtes vaillans, nous le sommes :
Guidez-nous contre les tyrans ;
Les républicains sont des hommes,
Les esclaves sont des enfants.
Choeur des enfants
La république, etc.
Christened "brother of the Marseillaise" by the soldiers of An II, the Chant du Départ in other words Song of the Departure of the Troops (which Napoleon preferred to the Marseillaise) became almost the national anthem of the First Empire. It was however first and foremost a song of the Revolution. The author of the words was Marie-Joseph Chénier (1764-1811), one of the best-known playwrights and poets of his generation. His cooperation with Etienne-Nicolas Méhul (1763-1817), one of the most popular composers of the time, formed a sort of 'dream team'. Indeed after their song's first performance at the Jardin National on 4 July, 1794, in celebration of the taking of the Bastille, 18,000 copies were sent to the army.
The Song of the Departure of the Troops (whose original title, Hymne de la liberté, Robespierre changed to that currently used) is a musical tableau or picture in which each of the seven stanzas is sung by different individual or group of actors, namely, a Député, a mother, two old men, a child, a wife, a young girl and finally three warriors. In the first stanza, the Député addresses some conscripts as they leave the city (passing the gates or 'barrière'), singing their victory as they go. Next, a 'Spartan' mother says she will shed no tears, it is the enemy kings who will weep. Two old men talk of the conscripts' swords (once their father's property). The old men say that they will wait at home for the valiant soldiers to return to bring them the news of victory, at which point they may die happy. A child then sings of Barra and Viala, two heroes who died gloriously for the Republic while yet very young (one 12, the other 13). When surrounded by Vendéens, Barra refused to swear allegiance to Louis XVII, preferring to cry 'Vive la République', for which he was bayoneted on the spot. Viala was shot attempting to cut with an axe the ropes of the attacking enemy's pontoon bridge. His dying words were said to have been 'I am dying, but it was for Liberty'. The engravings designed by Trimolet and executed by Garnier (1 and 4) and Boilly (2 and 3) graphically illustrate these two tales. Wives and girlfriends sing their devotion to their loved ones in stanzas 5 and 6, whilst in the final seventh stanza the departing conscript heroes reply, swearing to live up to all exhortations of the preceding singers and to bring liberty and peace to the world.
Like the Marseillaise, the Song of the Departure of the Troops was to survive the Revolutionary and Napoleonic periods. It is still sung by the French army (French President during the 1970s', Giscard d'Estaing, had it played at official events alongside the Marseillaise) and is an excellent and stirring martial air.
Sources
- Dictionnaire Napoléon, ed. J. Tulard, Paris: Fayard, 1999, s.v., 'Chénier' and 'Méhul'
- Bouzard, Thierry, Anthologie du chant militaire français, Paris: Grancher, 2000, pp. 30-32
- Chants et chansons populaires de la France, ed. H.-L. Delloye, Paris: Garnier Frères, première série, 1843, "Le chant du départ".
“on va leur percer le flanc”的歌词
还记没记得在影片《拿破仑在奥斯特里茨》一小部分老近卫军擅自出击时哼唱的歌曲??没错,就是这首。我翻译为“我们要突破敌人的侧翼!”(不知对不对?)
On va leur percer le flanc
On va leur percer le flanc!
ran tan plan tire lire lan plan
On va leur percer le flanc!
ran tan plan tire lire lan plan
ah c'que nous allons rire
ran plan tire lire
On va leur percer le flanc!
ran tan plan tire lire lan plan
On va leur percer le flanc!
ran tan plan tire lire lan plan
le p'tit tondu s'ra content ? (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
ça lui f'ra bien plaisir
ran plan tire lire
le p'tit tondu s'ra content ? (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
Et car c'est de c'la que dépend . (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
le salut de l'empire
ran tan tire lire
on va leur percer le flanc (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
couplet subversif
pour lui plaire il faut du sang (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
ah c'que nous allons rire
ran tan tire lire
pour lui plaire il faut du sang (bis)
ran tan plan tire lire lan plan
下面这个我没看懂:
Partant pour la Syrie
Partant pour la Syrie or Le beau Dunois,Music by Queen Hortense de Beauharnais, words by Comte Alexandre de Laborde.
Partant pour la Syrie
Partant pour la Syrie,
Le jeune et beau Dunois,
Venait prier Marie
De bénir ses exploits :
Faites, Reine immortelle,
Lui dit-il en partant,
Que j'aime la plus belle
Et sois le plus vaillant.
On lui doit la Victoire.
Vraiment, dit le seigneur ;
Puisque tu fais ma gloire
Je ferai ton bonheur.
De ma fille Isabelle,
Sois l'Epoux à l'instant,
Car elle est la plus belle,
Et toi le plus vaillant.
Il trace sur la pierre
Le serment de l'honneur,
Et va suivre à la guerre
Le Comte son seigneur ;
Au noble vœu fidèle,
Il dit en combattant :
Amour à la plus belle,
Honneur au plus vaillant.
A l'Autel de Marie,
Ils contractent tous deux
Cette union Chérie
Qui seule rend heureux.
Chacun dans la chapelle
Disait en les voyant :
Amour à la plus belle,
Honneur au plus vaillant.
Partant pour la Syrie, traditionally dated to 1807, is a classic example of a song or 'romance' in the mediaevalising Romance/Troubadour style, a genre invented during the First Empire. Although initially attributed to Napoleon's step-daughter Hortense de Beauharnais, it was re-attributed by musicologist Arthur Pougin to a certain Louis-François-Philippe Drouet (1792-1855), flautist at Louis's court in Holland. The words were written by the archaeologist Comte Alexandre de Laborde (1774-1842). Recent research has however revealed Pougin's re-attribution to be driven by anti-Second Empire sentiment and restored Partant… to its rightful owner, Hortense. As she wrote in her memoirs 'Partant pour la Syrie was done at Malmaison while my mother was playing tric-trac' (Mémoires, vol. 3, p. 119).
The poem recounts the story of a courtly crusader, Dunois, who prays to the Virgin Mary (just before leaving for the crusades in Syria) that his love may be the most beautiful and that he may be the bravest. Dunois' prayers are answered; he is the boldest in battle and on his return he is granted the hand of his lord's very beautiful daughter, Isabelle. The apparent reference to the historical figure of the Comte de Dunois, famous for being the companion of Joan of Arc, is however misleading. The poem is entirely fanciful: the historical Dunois never fought in Syria, nor did he marry Isabelle, the daughter of his lord. That the 'romance' was closely associated with the First Empire regime is shown by the fact that the Bourbons of the restoration considered the song seditious - it was also a Bonapartist rallying cry in the 'dark days' before the Second Empire.
Partant pour la Syrie was enormously popular not only during the First Empire but also during the Restoration and the Second Empire. Louise Cochelet, Hortense's lectrice, wrote in her memoirs concerning Hortense (vol. 1, pp. 45-47) that Le beau Dunois 'was sung to such an extent that the hurdy-gurdies repeated it ceaselessly in the streets, promenades, everywhere. In the end, it was played to such an extent that, even though the romance is charming, one ended up being tired with it.' But it's popularity was not to diminish. Over the following decades it was to be transcribed and arranged for numerous different combinations of instruments by composers from Bochsa to Dussek. A set of variations was even published written for the penny whistle! Hortense's romance reached its zenith however when it became the Second Empire's 'national anthem', to be played at almost every official occasion. Apart from remaining as a song sung by the French army, it has today been almost completely forgotten.
Sources
Hortense de Beauharnais, Mémoires de la reine Hortense, (éd. Jean Hanoteau), Paris: Plon, 1927, 3 vols
Bernard Chevallier, La reine Hortense: une femme artiste. Catalogue of an exhibition held at the Château de Malmaison, 27 may to 27 September, 1993, éd. Bernard Chevallier, Paris: RMN, 1993, 110 p. Section entitled "Hortense et la musique", "La Reine Hortense et la musique", by Dorothea Baumann, "Inspiration et renommée; les romances de la reine Hortense dans leur époque", par Alain Pougetoux, p. 21-24
Louise Cochelet, Mémoires sur la reine Hortense et la famille impériale, Paris: Ladvocat, 1836-38, 4 vols
Arthur Pougin, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, Paris, 1878-80.
Hortense published several collections of Romances, notably:
Romances mises en musiques par S.[a] M.[ajesté] L.[a] R.[eine] H.[ortense], each with facing acquatint (also by Hortense)
Romances composées par Hortense, duchesse de Saint-Leu. Huit romances nouvelles, Paris: Pacini, s.d., which opens with "Le beau Dunois" or " Partant pour la Syrie"
Douze Romances dédiées au prince Eugène par sa soeur, published before 1825
Album artistique de la reine Hortense, 1853, Heugel et Co, a luxurious edition of twelve romances including lithographs and title pages in chromolithographs.
下面这个也看不懂——————
Bataille de Maringo (sic) by Bernard Viguerie
Pièce Militaire et Historique pour le Forte Piano avec accompagnement de violon et basse.
Dédiée à l'armée de réserve (opus 8)
Marche
Commandement Maestoso (coup de canon)
Appel de Trompettes (coup de canon)
Attaque
Allegro (feu roulant, canons, l'ennemi reçoit des renforts, les Français sont repoussés et font retraite jusqu'à St. Juliano, le Ier Consul arrête ce mouvement rétrograde),
All[egr]o assai (le corps commandé par Dessaix charge l'ennemi à la baïonnette. Ce général est blessé mortellement),
All[egr]o vivace (les troupes qu'il commandait brûlant de venger sa mort se précipitent avec fureur sur la première ligne ennemie. L'ennemie se replie sur sa deuxième ligne, les deux lignes réunies chargent à leur tour les Français. Kelermann à la tête de la cavalerie française charge l'ennemi, galop des chevaux, coups de sabre, l'ennemi est culbuté, il est forcé de prendre la fuite, il est poursuivi jusqu'au delà de Marengo),
Lento (plaintes des blessés et des mourants),
Allegro (Trompettes annonçant la victoire, coup de canon).
Ier. Air après la victoire Allegro
2ème. Air dans le genre egiptien All[egr]o
3ème. Air Pas redoublé Allegro
Coda (coup de canon).
Bernard Viguerie
French music teacher, composer and music dealer, Bernard Viguerie was born in Carcassone circa 1761. He died in Paris in March 1819. In Paris he studied with Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier, where he completed his studies at the age of 22. In 1795, he opened a 'Magasin de Musique et d'Instrumens' based at 38, rue Vivienne, Paris. He is particularly known for his piano method (c.1795) of which it has been said 'There are few works that are more mediocre or of more questionable utility than this so-called method; there are few, however, which have been more successful or run to so many editions'. Viguerie compositions comprise 13 opus numbers: opp. 1-5 were announced with the opening of the shop in 1795. The opus 13 Douze Préludes appeared ten years later. The work here, Bataille de Maringo (sic), Piece Militaire et Historique pour le Forte Piano avec accompagnemt de violon et basse. Dédiée à l'armée de réserve (opus 8), one of two battle pieces - the other being entitled Prague - should be dated before 1805 (the date of the opus 13 set) but after 14 June 1800, the date of the Battle of Marengo. A manuscript copy of the piece (unattributed) is also found in the Biblioteca Casanatense in Rome Manuscript. 2533 (Olim: O.IV. 110), fols. 22-39, with the instructions translated into Italian and the work prescribed for 'young ladies'.
The piece itself is a remarkable example of a programmatic work (that is, it literally tells the story of the battle), where the effects of canon blasts, sabre thrusts, cavalry charges are all indicated not only in the music but also such words are printed above the stave at the relevant moment. I imagine that the pianist or his page-turner would read these titles out to the drawing room audience as the pianist was playing. The canon blasts are the subject of special instructions and an invented symbol. The player is invited to use his stretched out right forearm and his two hands to play every single note of the bottom three octaves of the piano at once, holding them down until the vibrations have almost died away. Once the battle is over, there are three victory airs, one of which in the Egyptian style. Quite naturally the whole work finishes with one final blast of the canon!
Sources
Fétis, F.-J., Biographie universelle des musiciens et bibliographie de la musique, (2ème éd., 1860-67), Paris : Librairie de Firmin Didot frères, fils et cie., vol. VIII (1867), p. 347.
Faure, G., La musique française de piano avant 1830, Paris : Didier, 1953.
The New Grove : Dictionary of Music and Musicians ®, Stanley Sadie (éd.), London and New York : Macmillan Publishers Limited, 1999, vol. 19, p. 757.
以上资料我费了九牛二虎之力才找到,找到后又发现pdf无法复制,于是我只好先解密,再复制。
还有两首乐曲是pdf格式的,体积太大,无法上传.
[ 本帖最后由 蓝色拿破仑 于 2006-12-24 15:43 编辑 ] |